Pour illustrer, les juges américains ont décidé qu’il n’était pas légal pour une image créée par une IA de manière autonome. Cependant, la protection semble envisageable lorsque la configuration ou la modification des créations produites dénote une participation humaine suffisante.
Par conséquent, il est raisonnable de supposer que la protection par le droit d’auteur de ces œuvres dépend du degré d’implication humaine.
Est-il justifié que les droits soient détenus par les créateurs des œuvres qui ont utilisé l’IA pour générer de la création?
Cette idée est contradictoire, même si elle est novatrice.
En effet, le geste artistique doit exprimer au moins une intention. En outre, même lorsque des créations « composites » sont créées en utilisant des œuvres préexistantes, l’auteur qui réalise l’œuvre nouvelle a le droit d’auteur.
Par conséquent, si seule l’intervention de la personne ayant eu l’intention de créer l’œuvre permet de justifier l’application du droit d’auteur, il paraît absurde de l’attribuer uniquement aux auteurs précédents. Les droits ne peuvent être détenus que par le créateur ou le développeur de l’IA en fonction de la participation.
Fast, cheap and good — from these three things you should always choose two. If it’s fast and cheap, it will never be good. If it’s cheap and good, it will never work out quickly. And if it is good and fast, it will never come cheap. But remember: of the three you still have to always choose two.